la métamorphose du papillon

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La Belgique

J'aimerai vous faire connaître mon plat pays.

Le Cabaret Wallon Tournaisien

La Royale Compagnie du Cabaret Wallon Tournaisien

 

Une société philanthropique et littéraire d’expression picarde fondée le 27 décembre 1907. Leur but est de défendre et promouvoir notre beau patois Tournaisien en écrivant des chansons, monologues et poèmes qu'ils interprètent sur le « Ponteon » lors de leurs Petits Cabarets qui ont lieu en janvier et mars de chaque année à la Halle aux Draps .Ces soirées sont depuis 1907 traditionnellement réservées aux messieurs. Pour les dames, elles viennent les encourager également lors de leurs prestations philanthropiques à Tournai ou ailleurs mais aussi au Salon de la Reine de l’Hôtel de ville à l’occasion de la Fête de la Chanson Wallonne qui a lieu chaque année le dimanche qui suit celui de la Grande Procession.

 

 

Pour en savoir plus : http://www.cabaretwallon.be

http://optimiste.skynetblogs.be/tag/1/Les%20Amis%20de%20Tournai

 

 


08/07/2008
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C’est aussi ça la Belgique !

Concert très agité ce soir sur la Grand-place de Bruxelles à l’occasion de la fête de la Flandre. Une quinzaine de personnes arborant des drapeaux flamands s’en sont pris à un autre groupe équipé lui de drapeaux belges. Des heurts qui n’ont fait aucune victime selon nos correspondants présents sur place. Ils ont impliqué au total une trentaine de personnes. La police est intervenue.

 

RTL Info.be

 


12/07/2008
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Discours du Roi

 

Dans son discours prononcé dimanche à l'occasion de la Fête nationale, le roi Albert II a évoqué la crise politique avec prudence. "Nous devons inventer de nouvelles formes de vivre ensemble dans notre pays", a-t-il déclaré en appelant à l'union et la tolérance. Le souverain a surtout fait le point sur les thèmes qui préoccupaient le roi Baudouin, son frère décédé il y a quinze ans.

Le roi n'a pas éludé les difficultés institutionnelles de la Belgique dans son discours prononcé en cette période de crise politique. Fort sollicité au cours de cette semaine, le souverain a refusé jeudi soir la démission du gouvernement présentée lundi par le Premier ministre Yves Leterme. Albert II a en outre désigné trois médiateurs chargés d'avancer sur le terrain institutionnel.

Evoquant les "sérieuses difficultés politiques" que traverse la Belgique, le souverain rappelle dans son discours que "les difficultés et les crises sont aussi des occasions de rebondir et de se ressaisir". "La division dans les esprits n'est pas une fatalité", a-t-il déclaré. "C'est l'union et la tolérance dans le respect de l'identité de chaque entité fédérée qui représentent la seule voie possible dans notre société démocratique", a poursuivi le roi. Et de souligner les changements inéluctables à opérer dans les mentalités: "Nous devons inventer de nouvelles formes de vivre ensemble dans notre pays".

Ne souhaitant pas s'étendre davantage sur le sujet, Albert II a
poursuivi son discours en évoquant certains thèmes qui tenaient à coeur au roi Baudouin. Le souverain a ainsi abordé la pauvreté, la traite des êtres humains, le suicide et la violence chez les jeunes, ainsi que le fossé entre les pays riches et les pays pauvres.

"Mon frère était profondément attaché aux valeurs de base de notre
société, en particulier à la justice, la solidarité avec les plus faibles,
et le respect de chaque personne", a souligné Albert II.

Il a précisé que Baudouin était particulièrement préoccupé par la
pauvreté qui "a pris de nouvelles formes et touche davantage de jeunes et de familles monoparentales. Elle reste aussi répandue parmi les personnes âgées".

En Belgique, une personne sur sept, soit 14,7% de la population,
peut être considérée comme pauvre. "Ce pourcentage est plus élevé que dans nos pays voisins, et nos efforts pour le réduire significativement doivent se poursuivre avec ténacité. En effet, ne faisons-nous pas partie des pays les plus prospères de la planète? ", Ajoute Albert II.

Le roi appelle aussi à combattre le phénomène de la traite des êtres
humains "qui frappe durement les personnes les plus fragiles (et) ne
régresse pas, malgré nos dispositions légales", déplore le souverain.

Il a encore soulevé le problème du suicide chez les jeunes. "Une politique de prévention et d'écoute de jeunes en difficulté devrait être stimulée", selon le roi qui ajoute qu'en outre la violence de jeunes à l'endroit d'autres personnes se sont également accrues.

"Là aussi une politique de prévention, centrée sur le respect de l'autre, doit être renforcée. Mais il va de soi que les autorités feront leur travail lorsque, malgré tout, la violence se manifeste effectivement, et un accompagnement adéquat de ces jeunes sera assuré", précise le souverain.

Albert II évoque encore le fossé entre les pays riches et les pays pauvres en appelant à un partage équitable et à une mobilisation envers l'Afrique.

Par ailleurs, dans son discours royal, qui s'affiche la continuité du règne de son défunt frère, Albert II a remercié la reine Fabiola, qui vient de fêter ses 80 ans, pour ses actions. Il a aussi repris un extrait du dernier discours de juillet 1993 du roi Baudouin, qu'il qualifie "d'avocat vigoureux de l'unité et de la cohésion du pays, dans le respect de sa diversité".

"Chacun de nous peut contribuer à rendre notre société plus solidaire et plus juste". C'est par ce souhait, formulé par toute la famille royale à l'occasion de la fête nationale, que le roi a terminé son discours traditionnel. (belga/7sur7)

 


23/07/2008
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Fête nationale et fêtes des communautés et régions

Fête nationale : 21 juillet

La Belgique est à la fois un pays très ancien et indépendant depuis peu. Les Belges ont été mentionnés pour la première fois, il y a 2.000 ans, par Jules César dans son livre sur la guerre des Gaules. Toutefois, durant des siècles, la Belgique n'a été qu'une partie d'un ensemble plus vaste d'Etats. Le pays n'a accédé à l'indépendance qu'en 1830. La fête nationale est fixée au 21 juillet par une loi du 27 mai 1890. C'est le 21 juillet 1831 que le premier roi des Belges, Léopold Ier, a prêté le serment constitutionnel. Il a prêté serment de fidélité à la Constitution belge, élaborée par le Congrès national et reconnue le 7 février 1831, ainsi qu'aux lois belges.

Fête de la Communauté française : 27 septembre

En souvenir de la victoire, en 1830, des patriotes sur les troupes hollandaises dans le parc de Bruxelles.

Fête de la Communauté flamande : 11 juillet

En commémoration de la Bataille des Eperons d'Or, en 1302, au cours de laquelle le comte de Flandre, avec l'aide des milices communales, a battu les troupes du roi de France près de Courtrai.

Fête de la Communauté germanophone : 15 novembre

 

Le jour de la fête du Roi.

Fête de la Région wallonne : troisième dimanche du mois de septembre

Fête de la Région wallonne.

Fête de la Région de Bruxelles-Capitale : 8 mai

Fête de l'Iris.


20/07/2008
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L'union fait la force

 

"L'union fait la force." Telle est la devise de la Belgique. Autant dire que le royaume, après plus d'un an d'instabilité politique, est à bout de forces. Démissionnaire lundi, pour la troisième fois, le Premier ministre a été remis en selle par le roi Albert II jeudi soir. Yves Leterme reprend ainsi son bâton de pèlerin. A la recherche de l'unité perdue de la Belgique, le leader des chrétiens-démocrates ne sera pas seul. Même s'il s'occupera essentiellement des questions sociales et économiques, comme les rumeurs le laissaient entendre, Yves Leterme aura également son mot à dire sur l'architecture institutionnelle que devra bâtir le triumvirat appointé par Albert II.

Après trois jours de consultations, le Palais a annoncé que le roi avait demandé à deux hommes politiques francophones et au ministre-président de la communauté germanophone de Belgique d'"examiner de quelle manière des garanties peuvent être offertes pour entamer d'une manière crédible un dialogue institutionnel" entre les deux principales communautés linguistiques du pays. François-Xavier de Donnea (Mouvement réformateur-droite), Raymond Langendries (Centre démocrate humaniste) et Karl-Heinz Lambertz (Parti socialiste) ont accepté cette mission de médiation et remettront leurs conclusions le 31 juillet. Le roi a également demandé au gouvernement de "promouvoir au maximum" les chances de succès de cette mission, dit un communiqué du palais.

 

Fête nationale sans union

Les chrétiens-démocrates (CD&V) ont donc finalement accepté, peu ou prou, ce qu'ils avaient alors jusque-là refusé : gérer essentiellement l'économique et le social et laisser l'essentiel des réflexions sur les réformes institutionnelles permettant aux 10 millions d'habitants (60% de Flamands, 30% de Wallons) de "vivre ensemble" à un conseil de sages. Volonté de laisser les "francophones" porter seuls la responsabilité d'un nouvel échec, stratégie d'attente jusqu'aux élections de juin 2009? Les éditorialistes francophones du plat pays s'interrogent...

Investi en mars dernier alors que le CD&V avait remporté les élections législatives de juin 2007, après neuf mois d'un blocage politique qui a contraint son prédécesseur, Guy Verhofstadt, à assurer un intérim, Yves Leterme s'était donné jusqu'au 15 juillet pour parvenir à un accord entre partis néerlandophones et francophones sur la réforme des institutions et la redéfinition du partage des compétences entre l'Etat fédéral et les régions (Flandre, Wallonie, Bruxelles). Sans succès. Il a également échoué sur la réforme de l'arrondissement électoral "BHV" - pour Bruxelles-Hal-Vilvorde -, où quelque 120000 francophones enclavés en Flandre peuvent voter pour des listes électorales francophones.

Lundi, la Belgique, créée il y a 177 ans, fêtera son indépendance et le serment de fidélité du roi Léopold Ier, prononcé le 21 juillet 1831.
Albert II prononcera à cette occasion un discours qui aura sans doute une résonnance politique particulière. Le conseil des sages et le gouvernement Leterme IV auront alors encore dix jours pour trouver une issue institutionnelle.

 


20/07/2008
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