La Belgique
Le Cabaret Wallon Tournaisien
La Royale Compagnie du Cabaret Wallon Tournaisien
Une société philanthropique et littéraire d’expression picarde fondée le 27 décembre 1907. Leur but est de défendre et promouvoir notre beau patois Tournaisien en écrivant des chansons, monologues et poèmes qu'ils interprètent sur le « Ponteon » lors de leurs Petits Cabarets qui ont lieu en janvier et mars de chaque année à
Pour en savoir plus : http://www.cabaretwallon.be
http://optimiste.skynetblogs.be/tag/1/Les%20Amis%20de%20Tournai
C’est aussi ça la Belgique !
Concert très agité ce soir sur
RTL Info.be
Discours du Roi
Dans son discours prononcé dimanche à l'occasion de
Le roi n'a pas éludé les difficultés institutionnelles de
Evoquant les "sérieuses difficultés politiques" que traverse
Ne souhaitant pas s'étendre davantage sur le sujet, Albert II a
poursuivi son discours en évoquant certains thèmes qui tenaient à coeur au roi Baudouin. Le souverain a ainsi abordé la pauvreté, la traite des êtres humains, le suicide et la violence chez les jeunes, ainsi que le fossé entre les pays riches et les pays pauvres.
"Mon frère était profondément attaché aux valeurs de base de notre
société, en particulier à la justice, la solidarité avec les plus faibles,
et le respect de chaque personne", a souligné Albert II.
Il a précisé que Baudouin était particulièrement préoccupé par la
pauvreté qui "a pris de nouvelles formes et touche davantage de jeunes et de familles monoparentales. Elle reste aussi répandue parmi les personnes âgées".
En Belgique, une personne sur sept, soit 14,7% de la population,
peut être considérée comme pauvre. "Ce pourcentage est plus élevé que dans nos pays voisins, et nos efforts pour le réduire significativement doivent se poursuivre avec ténacité. En effet, ne faisons-nous pas partie des pays les plus prospères de la planète? ", Ajoute Albert II.
Le roi appelle aussi à combattre le phénomène de la traite des êtres
humains "qui frappe durement les personnes les plus fragiles (et) ne
régresse pas, malgré nos dispositions légales", déplore le souverain.
Il a encore soulevé le problème du suicide chez les jeunes. "Une politique de prévention et d'écoute de jeunes en difficulté devrait être stimulée", selon le roi qui ajoute qu'en outre la violence de jeunes à l'endroit d'autres personnes se sont également accrues.
"Là aussi une politique de prévention, centrée sur le respect de l'autre, doit être renforcée. Mais il va de soi que les autorités feront leur travail lorsque, malgré tout, la violence se manifeste effectivement, et un accompagnement adéquat de ces jeunes sera assuré", précise le souverain.
Albert II évoque encore le fossé entre les pays riches et les pays pauvres en appelant à un partage équitable et à une mobilisation envers l'Afrique.
Par ailleurs, dans son discours royal, qui s'affiche la continuité du règne de son défunt frère, Albert II a remercié la reine Fabiola, qui vient de fêter ses 80 ans, pour ses actions. Il a aussi repris un extrait du dernier discours de juillet 1993 du roi Baudouin, qu'il qualifie "d'avocat vigoureux de l'unité et de la cohésion du pays, dans le respect de sa diversité".
"Chacun de nous peut contribuer à rendre notre société plus solidaire et plus juste". C'est par ce souhait, formulé par toute la famille royale à l'occasion de la fête nationale, que le roi a terminé son discours traditionnel. (belga/7sur7)
Fête nationale et fêtes des communautés et régions
Fête nationale : 21 juillet
Fête de
En souvenir de la victoire, en 1830, des patriotes sur les troupes hollandaises dans le parc de Bruxelles.
Fête de
En commémoration de
Fête de
Le jour de la fête du Roi.
Fête de
Fête de
Fête de
Fête de l'Iris.
L'union fait la force
"L'union fait la force." Telle est la devise de
Après trois jours de consultations, le Palais a annoncé que le roi avait demandé à deux hommes politiques francophones et au ministre-président de la communauté germanophone de Belgique d'"examiner de quelle manière des garanties peuvent être offertes pour entamer d'une manière crédible un dialogue institutionnel" entre les deux principales communautés linguistiques du pays. François-Xavier de Donnea (Mouvement réformateur-droite), Raymond Langendries (Centre démocrate humaniste) et Karl-Heinz Lambertz (Parti socialiste) ont accepté cette mission de médiation et remettront leurs conclusions le 31 juillet. Le roi a également demandé au gouvernement de "promouvoir au maximum" les chances de succès de cette mission, dit un communiqué du palais.
Fête nationale sans union
Les chrétiens-démocrates (CD&V) ont donc finalement accepté, peu ou prou, ce qu'ils avaient alors jusque-là refusé : gérer essentiellement l'économique et le social et laisser l'essentiel des réflexions sur les réformes institutionnelles permettant aux 10 millions d'habitants (60% de Flamands, 30% de Wallons) de "vivre ensemble" à un conseil de sages. Volonté de laisser les "francophones" porter seuls la responsabilité d'un nouvel échec, stratégie d'attente jusqu'aux élections de juin 2009? Les éditorialistes francophones du plat pays s'interrogent...
Investi en mars dernier alors que le CD&V avait remporté les élections législatives de juin 2007, après neuf mois d'un blocage politique qui a contraint son prédécesseur, Guy Verhofstadt, à assurer un intérim, Yves Leterme s'était donné jusqu'au 15 juillet pour parvenir à un accord entre partis néerlandophones et francophones sur la réforme des institutions et la redéfinition du partage des compétences entre l'Etat fédéral et les régions (Flandre, Wallonie, Bruxelles). Sans succès. Il a également échoué sur la réforme de l'arrondissement électoral "BHV" - pour Bruxelles-Hal-Vilvorde -, où quelque 120000 francophones enclavés en Flandre peuvent voter pour des listes électorales francophones.
Lundi,